zoosexualite.erog.fr

source : etiennedumont.blog.tdg.ch


Tous les goûts sont dans la nature. Et il ne s’agit ici pas d’un vain mot. Nous nous trouvons en effet en pleine nature, quelque part dans la Suède profonde. Ronneby, en Suède, doit se situer bien loin de Stockholm. Nous sommes en plus dans sa «région». Autant imaginer quelque chose de bucolique et de pittoresque.


Peu de gens vivent apparemment dans ce coin perdu du Nord. Les individus ne s’y sentent donc pas surveillés. On sait que la vie quotidienne, dans les pays scandinaves, se retrouve aujourd’hui entravée par le politiquement correct. Celui-ci autorise de nouvelles chasses aux sorcières. Un genre très pratiqué en Suède luthérienne jusqu’au XVIIIe siècle.


Un individu, qui n’a encore ni visage, ni nom s’est donc permis un acte impensable. Il a violé un mouton près de Ronneby. Tout ce qu’on sait de lui est que l’homme possède un «faible gabarit». Il semble avoir entre 60 et 70 ans, ce qui annonce un monsieur plutôt vert pour son âge. Il ne porte pas de pantalon. Mais là, les choses ont pu changer depuis. Si un pantalon s’enlève, il se remet aussi.


Comment avons-nous cette description? Parce que la solitude du violeur n’était pas aussi grande que ce dernier le croyait. Le monstre a été vu par un témoin. Celui-ci, «choqué», n’a pas eu le courage, ou le temps, d’intervenir. La victime (mâle ou femelle, je ne sais pas) a donc subi les derniers outrages sous ses yeux horrifiés. Le «suspect», qui m’a tout l’air d’être un coupable, a pu s’en aller sans encombre une fois la copulation terminée.


Le problème, pour la police de Ronneby, est de savoir si l’animal a été blessé. Et si c’est le cas, la gravité de la lésion. L’homme a peut-être la loi pour lui. En 1944, alors que se terminait non loin de là une guerre anéantissant des millions d’humains, la Suède a pris le temps de réviser son code criminel. La zoophilie s’est vue dépénalisée. On ne demande pas le consentement, même muet, de la bête. Il faut juste qu’il n’y ait pas d’«actes de cruauté».


Comme c’est curieux… Egorger un mouton, pour le transformer en côtelettes par ailleurs délicieuses, ne constitue donc pas un acte de cruauté. Faire rôtir sa cervelle non plus. Jouer avec lui à des jeux amoureux pourrait en revanche le devenir. On sent bien là la diabolisation du sexe par rapport à la violence. Cela dit, Le violeur avait ici lié les pattes arrière du mouton. Un mauvais point pour lui. Et cela même si, entre humains, la corde sert souvent à attiser les sens. Regardez (mais ailleurs que dans la prude «Tribune de Genève») les photos du Japonais Araki!

L'article et sa copie d'ecran sur  : zeta-fr.net

Mon avis :

J'aime bien la réflexion de l'auteur du blog sur la bipolarité des gens concernant l'horreur d'enfiler un animal d'un coté, et la normalité de pouvoir l'égorger pour en faire des côtelettes de l'autre.
A noté qu'apparemment en Suède la zoophilie n'est pas interdit. C'est comme en France avant 2004. Seul les actes de cruauté sont interdit. Un bon point pour eux.